Ceci dit, cette impression de fragilité a été contrebalancée par une hausse mensuelle des exportations, par la bonne tenue des ventes au détail et par les niveaux record des importations de pétrole brut et de minerai de fer.
Pris dans leur ensemble, les indicateurs macro-économiques laissent entrevoir une croissance qui ralentit après un deuxième trimestre vigoureux, sans qu'il y ait lieu de remettre en cause l'objectif d'un PIB en hausse de 8% pour l'ensemble de l'année.
Entre avril et juin, le PIB chinois a progressé de 7,9%, contre 6,1% au premier trimestre, grâce notamment aux effets d'un plan de relance massif de 4.000 milliards de yuans (416 milliards d'euros) et à un bond des crédits octroyés par les banques.
Olivier VEROT
Stratégie Chine
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire